Une fois n’est pas coutume, les industriels de l’agroalimentaire vont devoir s’adapter à un environnement réglementaire fluctuant, avec un soupçon d’espoir insufflé par la loi Alimentation, mais aussi de nouvelles contraintes comme sur les emballages. La création de valeur va donc être au centre des préoccupations, alors même que les blocages par les gilets jaunes ont entaillé la vitalité économique d’un secteur déjà sur la brèche. En parallèle, les entreprises alimentaires doivent appréhender les modifications des comportements d’achat, générées par de profondes évolutions sociétales (bio, végétal, origine, etc.).
LOI ALIMENTATION : l’heure de vérité