Le bien-être animal apparaît désormais en tête des inquiétudes exprimées vis-à-vis des viandes. « Au même niveau que l’hygiène et la fraîcheur. Un lien fort est fait avec l’abattage », pointe l’anthropologue Véronique Pardo, citant les résultats de l’enquête Inquietalim (Ocha-université de Toulouse-Credoc). « Du côté des produits laitiers, le sujet a émergé aussi, mais sur une frange plus restreinte », poursuit-elle. Dans ce secteur, le grand pôle d’inquiétudes reste l’hygiène et la fraîcheur. Viennent ensuite les questionnements sur le mode d’élevage, l’alimentation animale et le bien-être animal.

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