Un produit de la pêche sur cinq vendus dans le monde serait non-conforme du point de vue de l’étiquetage, selon un nouveau rapport de l’ONG Oceana.
L’organisation a analysé plus de 200 études menées dans 55 pays. Il en ressort que les irrégularités d’étiquetage touchent l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement, notamment les stades de la distribution, de l’import/export et du conditionnement.
Oceana pointe néanmoins les bons résultats obtenus par l’UE sur la période étudiée : la fraude à l’étiquetage des produits de la pêche est passée de 23% sur la période 2003-2011 à seulement 8% en 2015.
Lien vers le rapport (en anglais)
Référence Vigial : A82289