Suite à l’accident nucléaire de Fukushima en mars 2011, des pics de radioactivité, résorbés au cours des mois suivants la catastrophe, ont été observés dans les aliments en provenance de la zone accidentée.
Il s’agit des conclusions d’une étude menée par l’Atominstitut de Vienne (Autriche), qui montre que les risques pour les consommateurs sont aujourd’hui très faibles. Au total, les chercheurs ont analysé 877.635 échantillons de fruits et légumes, viande, œufs, champignons et feuilles de thé. Ces résultats son publiés dans la revue Environmental Science & Technology.
Référence Vigial : A73474